vendredi 26 août 2011

La vie comme un sac de billes




Fou ou totalement décalé, je ne peux qu’en tant de Neutron Libre vous engager dans la lecture de cet article avec un esprit souple et transversal. Laissez-vous donc porter par cette transversalité (si je puis dire) et comparer l’incomparable. Vous voilà des lecteurs et commentateurs avertis !



Et si nous comparions le monde à des billes ? A ces objets ronds d’aspects différents, aux âges remarquables en fonctions de leurs impacts… A des billes déplacées par des forces externes mais également dotées d’une puissance, d’une impulsion intérieure. Des bulles de consciences et d’inconsciences guidées par des forces d’attractions verticale (l’attraction terrestre et divine) et horizontale (l’attraction à d’autres) sur un terrain plus ou moins lisse. Des bulles dans des bulles, des tailles similaires ou à des échelles totalement incomparables. Parfois nous pouvons mettre les billes dans le même sac, parfois c’est juste impossible.

Je retiendrai ici une définition, puisque nous parlons de vies et de choses, celle « du vivant ».
Le vivant est défini comme :
o organisme, ensemble constitué par des éléments ou organes remplissant des fonctions différentes et coordonnées

o ensemble unifié et relativement autonome, présentant des fonctions spécifiques : la reproduction, l’action de se nourrir ; la résistance à l’extérieur, en même temps que le besoin d’être en relation continuelle avec lui


Définition tirée de : http://www.philocours.com/cours/cours-vivant.htm

Mon sac de billes serait ici cet ensemble organique, moléculaire - donc rond - relativement autonome et programmé.

Suite à venir...

A l’intérieur comme à l’extérieur
Les relations sociales                                   
Similitudes et différenciations
Impacts

samedi 6 août 2011

Innocence

Et si le plus « grand » ça serait l’enfant ?


Lorsque l’on est enfant, on observe, on recopie, on invente. Lorsqu’on est adulte, on met en pratique, on reproduit, on modèle.


Le rapport au pouvoir
Pouvoir signifie être en capacité de détenir et de mobiliser les moyens afin d’arriver à ses fins. C’est justement dans la détention de ces moyens que va se jouer le rapport de forces. Celui qui détient le plus de moyens afin de concrétiser les buts les plus prestigieux, sera le « chef ». La hiérarchie se créé. Quand on est enfant, on souhaite beaucoup de choses, mais on ne détient pas le pouvoir financier. Quand on est enfant, on souhaite faire ce que l’on veut, mais on ne détient pas le pouvoir décisionnel. Quand on est enfant, on souhaiterait parfois changer le monde, car on voit les choses différemment, mais on n’est ni compris, ni entendu, ni assez « assez grand » pour « ces choses là ». Quand on est enfant on a besoin de se sentir grand, alors on essaie de détenir un pouvoir financier, un pouvoir décisionnel et un pouvoir de faire changer les choses.
Mais quand on est enfant, on est innocent, car on ne sait pas. On ne sait pas combien les choses sont bonnes et combien elles sont males. On observe, en recopie, on invente. Lorsqu’on est adulte, on met en pratique, on reproduit, on modèle. Quand on est enfant on établit des règles générales et on les repousse.
Quand on est enfant, on aime vraiment. Et si on aime, alors on peut repousser toutes les barrières, sinon, ça signifie qu’on n’aime pas vraiment. Quand on est adulte on fait l’amour mais on attend en retour avant de donner plus d’amour.


Le rapport au temps
Quand on est enfant, on voit le temps sous la vision d’enchaînement d’évènements. On s’attriste de la fin de l’un et on se réjouit de l’arrivée du prochain. Quand on est adulte le temps est compté, mesuré. Le temps passé sur un évènement doit permettre l’arrivée d’un évènement beaucoup plus grand. On cherche les chemins les plus courts, les plus « rentables », les surprises les plus « grosses ». Chaque effort dans le temps doit être récompensé au prix négocié, ou mieux !


Le rapport au jeu
Quand on est enfant, on passe son temps à jouer. Quand on est adulte, certains jouent et c’est souvent eux qui gagnent le mieux leur vie, d’autres travaillent. Mais tous tiennent des rôles et des scripts à longueur de temps et tout s’enchaîne comme une grande pièce de théâtre.



La vérité
Quand on est enfant, « on dit toujours la vérité », car c’est la règle, car on l’a appris. Quand on grandit, on désapprend, parce que « toute vérité n’est pas bonne à dire », on a souvent été puni, car on a dit ce qu’on pensait être « la vérité », car on a observé, on a vu, on en a conclu. Et « les grands » ça ne leur a pas plu. Quand on est grand on croit savoir LA VERITE, mais tout le monde se ment, et on fait semblant, on fait les innocents, en jouant, souhaitant rattraper le temps… on fait semblant que tout va bien et ça arrange tout le monde. Après tout pourquoi changer quand on possède tout ?


Le Neutron Libre



**"Les hommes de chez toi, dit le petit prince, cultivent cinq mille roses dans un même jardin... et ils n’y trouvent pas ce qu’ils cherchent.
— Ils ne le trouvent pas, répondis-je...
— Et cependant ce qu’ils cherchent pourrait être trouvé dans une seule rose ou un peu d’eau..."


Commentez, réagissez, faites partagez vos pensées sur le sujet !


vendredi 5 août 2011

Think Thank & Open Place

Espace libre où vous pouvez déposer tout commentaire, message, article, thème qui vous intéresse...
Possibilité d'être publié en tant qu'article si vous le souhaitez ;)

samedi 30 juillet 2011

Neutron Libre, les sens des mots & origines

Pourquoi le nom de ce site ? Afin de vous en dire plus et sans vous saoulez de pages et de pages, je ferai référence à wikipédia, afin que vous puissiez découvrir une parcelle de l’essence de la pensée du neutron libre.


Neutron et neutron libre : http://fr.wikipedia.org/wiki/Neutron

D’autres termes : chute libre, roue libre, vol libre, engagement…

mardi 26 juillet 2011

La pluie et l’émancipation de mon âme

En réponse au message posté par A propos Roza : La pluie et l'émancipation de mon âme (lien : http://aproposroza.blogspot.com/2011/07/la-pluie-et-lemancipation-de-mon-ame.html) voici ce que le neutron libre répondit.


"La pluie, tout comme toi je l’aime… dans son cracha, comme dans sa folie diluvienne, dans sa douceur, comme dans sa violence. Je l’aime, parfois, je la boude, de temps en temps, je la déteste, rarement. Mais je l’admire, surtout. Je l’appelle et lui parle, je lui dis « viens », je lui dis « plus fort », je lui dis « arrête toi », je lui dis qu’elle est bonne pour la terre, pour les hommes, pour mon âme. Je tente de la dominer, - quand c’est le cas j’en suis fière -, mais c’est elle qui impacte le plus mes sens.

Quand ceux que j’aime ne la souhaite pas, ne la comprend pas, tout au fond de moi, j’espère qu’elle ne sera pas là. Je ne veux pas qu’elle se sente étrangère, mal aimée, voir même qu’on la maudisse. J’appelle le soleil et l’espère. Le soleil, son alter, son opposé, son complément. Le soleil brûle, la pluie rafraîchie. Et de leur rassemblement naît une courbe de couleur, l’enfantement d’un dégradé de bonheur, un toboggan, une montagne russe, un arc bien tendu, étendu, suspendu en l’air et raccordé au sol. L’air se prête au jeu de l’amour entre la pluie et le soleil. Il prend forme et couleur, il se matérialise.

J’aime la pluie, j’aime l’eau, j’aime le raccord entre le ciel et la mer que permet la pluie. La pluie, lien entre le ciel et la terre. Elle est transversale, elle détruit la hiérarchie, née de l’absorption, déplacée en suspension, bousculée et retransmise dans sa descente. Verticalité, horizontalité, transversalité. Neutron libre, me voilà captivée par les éléments de la vie. "

lundi 25 juillet 2011

La difficulté d’écrire

Je me lance dans l’écriture de ce tas de bêtises, issu de mon expérience d’humain, de mes croyances et valeurs, de mes recherches, de mes émotions, des autres et des relations que je tisse jour après jour avec vous. Ce qui est vrai aujourd’hui, ne le sera qu’en parti demain, sera faux pour d’autres. Les mots changent, tout comme les visions que nous avons sur le monde, mais il reste une matière brute, non évolutive, une matière non travaillée, celle du temps présent et qui meure dès que ce temps énoncé et défini l’est même partiellement. C’est ce temps que je veux nous offrir en partage.
Ce temps concrétisé par un espace créé de toute pièce, ou presque. Critiquez moi, offensez moi, impactez moi, détruisez moi, c’est ce que je souhaite. Je souhaite être ce futur, ce neutron libre, mutant bizarre, libre et prisonnier à travers l’espace temps et les liens interpersonnels. Je suis moi, soyez vous et je serai un autre moi, grâce à vous, il y aura des nous.
Merci de votre confiance,
Le neutron libre